et son magasin de parapluies
Voici des extraits de la lettre qu'il écrit à sa mère:
Traduction : "New York, le 13 février 1935
Chère Maman : Me voici ici, comme toujours
très content parce que je sais que tu vas bien et que tu es heureuse, comme
l'oncle Jean, Charlotte, Marissou, l'autre tante du magasin de parapluies, son
fils, et le "phénomène" de mon cousin "le roi de la pêche".
A tous mes affectueuses salutations et pensées. Grâce à Dieu, je vais bien, au
point de vue de la santé, de l'esprit et du travail, tout ce qui est important
en ces temps......"
"............... Bien, ma petite mère,
tu sais, salue tout le monde de ma part et spécialement ma chère Marissou. Dis
lui qu'elle apprenne quelques paroles en espagnol pour quand je la verrai, car
je me rappelle beaucoup de ses boutades,toujours si sympathiques. Car je veux
la voir chaque jour plus jeune. De ma petite maman, je ne peux rien dire, car
chaque fois que je la vois je la trouve plus jolie et plus forte, En tout il
nous reste encore cinquante années de vie pour chacun .... et avec le
"magot". ---- Je t'écris maintenant à la main, je l'ai
fait à la machine pour plus de confort,
n'oublie pas de leur dire à mon oncle Jean et à Charlotte que je ne les
oublie pas et que je pense toujours à eux . Baisers et étreintes de ton fils
qui t'aime et qui n'oublie pas --- Carlos "
Ces mots de GARDEL montrent
toute l'affection qu'il portait à sa mère et à sa famille française qu'il avait vue pour la dernière fois en octobre 1934. Il cite son oncle Jean et son épouse
Charlotte qui habitent TOULOUSE, puis MARISSOU surnommée par GARDEL "la formidable" qui est une cousine de sa mère et enfin "la tante du magasin de parapluies"
avec son fils, ainsi qu'un "cousin grand amateur de pêche".
Si nous connaissons les identités de l' Oncle
Jean, de Charlotte son épouse et de MARISSOU, il restait à découvrir celles de
"la tante du magasin de parapluies" et de ce cousin.
En France, Carlos GARDEL rendait visite à son
Oncle Jean et aux familles BARRAT et PUGIBET, issues du mariage de Jeanne
Pétronille GARDES (tante de sa mère Berthe GARDES) avec Bruno Marie BARRAT,
boulanger. Puis en 1933, il fit la connaissance de MARISSOU, une cousine de sa mère qui habitait ALBI. C'est ainsi qu'il se rendit à ALBI l'année suivante et qu'il noua des relations très chaleureuses avec la branche albigeoise de sa famille française.
A TOULOUSE, l'oncle Jean était à la retraite,
et dans les familles BARRAT et PUGIBET, on trouvait comme profession des
tailleurs et des employés, mais peu de commerçants. A ALBI, la famille de
MARISSOU avait vécu du commerce et il semblait plus logique de s'orienter en
premier dans cette voie pour trouver cette tante qui tenait un commerce de
parapluies.
La recherche s'est appuyée sur les sources
d'information suivantes:
1- Généalogique - État civil du TARN et des
départements français voisins.
2- Population
- Recensements d' ALBI aux Archives Municipales d' ALBI
3- Information d'ordre général - Annuaire du
Tarn aux Archives Départementales du TARN.
ANNUAIRE DU TARN 1931-1932
Liste
des Commerçants
Cet annuaire contient une liste des
commerçants d' ALBI qui sont présentés selon leur spécialité. Dans la rubrique
"PARAPLUIES ET OMBRELLES" on trouve les trois magasins suivants.
Au Gaspillage, rue Sainte-Cécile.
Meynier (Mlle), 17
rue Mariès.
Paillas, 13, rue
Mariès.
Annuaire du Tarn 1931-1932 : ALBI, liste des
Magasins de parapluies et d'ombrelles.
RECENSEMENT D'ALBI DE 1926
Une recherche approfondie de la famille albigeoise de MARISSOU et de Berthe GARDES a révélé la présence commune de
Fernand PAILLASSE et d' Emma CAMARÈS dans le recensement d' ALBI de 1926,
rue du Pont Neuf. Ce domicile fut habité
précédemment par Jules Barthélemy CAMARÈS, un oncle de MARISSOU et de Berthe GARDES.
Le nom de famille PAILLASSE étant très proche
de PAILLAS, du nom du magasin de parapluies situé 13 rue Mariès à ALBI, il
devenait intéressant de poursuivre dans cette voie, tout en sachant que le
résultat pouvait être négatif.
Recensement d' ALBI 1926 : rue du Pont Neuf,
N°16- Famille de Fernand Paillasse.
25 | PAILLASSE | Fernand | 1898 | Albi | Chef | Employé | Mines d'ALBI |
26 | idem | Solange | 1900 | idem | Épouse | ||
27 | idem | Nelly | 1922 | idem | Fille | ||
28 | CAMARÈS | Emma | 1864 | Blaye | Belle mère | ||
29 | PHILIGON | Marguerite | 1889 | Albi | Domestique | Paillasse |
Cinq personnes vivent sous le même toit : Fernand PAILLASSE, qui travaille aux mines d'Albi, son épouse Solange et sa fille Nelly, Emma CAMARÈS, "belle mère" et une domestique employée par la famille PAILLASSE.
Fernand Maurice PAILLASSE est né à ALBI le 24 juillet 1898 et a épousé Solange Camille Emma BARTHE le 29 mars 1921. De leur union est née, le 1er janvier 1922, une fille prénommée Nelly Homère Edmée. Le jeune couple et leur petite fille vivent au domicile de la mariée, 15 rue du Pont Neuf à ALBI.
RECENSEMENT D'ALBI DE 1911
Le recensement albigeois de 1911, montre, dans la maison, la composition de cette cellule familiale avant le mariage de Solange BARTHE.
Recensement d' ALBI 1911 : rue du Pont Neuf, N°16 - Famille d'Emma CAMARÈS
44
| Veuve CAMARÈS | Emma | 1860 | St Benoît | Chef |
45 | CHARPENTIER | Jenny | 1833 | La Tramblade | Mère |
46 | PONS | Hélène | 1862 | Royan | Sœur |
47 | BARTHE | Solange | 1900 | Albi | Nièce |
En 1911, Emma CAMARÈS était le chef de famille,
elle vivait avec sa mère Jenny CHARPENTIER, sa sœur Hélène PONS et Solange
BARTHE, sa "nièce" âgée de 11 ans.
On
peut constater, par rapport au recensement de 1926, une différence sur la date de naissance
d'Emma Veuve CAMARES (1860 au lieu de 1864) ainsi que sur son lieu de
naissance.(BLAYES et SAINT BENOÎT DE CARMAUX, deux localités éloignées de 3
kilomètres environ)
Il
était nécessaire de connaître la généalogie de ces personnes portant les noms
de PAILLASSE, BARTHE, CAMARÈS, PONS pour savoir pourquoi elles vivaient sous le
même toit.
1- Solange BARTHE et
Maurice PAILLASSE :
Solange
Camille Emma BARTHE est née à ALBI le 10 février 1900. C'est la fille de Maurice Paul BARTHE,
chemisier, domicilié 16 rue Mariès à ALBI et de Noémie FILEGON. En 1900, cette
famille habitait à proximité du domicile de MARISSOU, situé 22 rue de la
Préfecture.
Acte de naissance de Solange(s)* Camille Emma BARTHE - État Civil d'Albi, année 1900
* Le
prénom Solange s'écrit sans le "s" final et nous nous avons retenu cette
orthographe dans le texte.
Acte de Naissance de
Fernand Maurice PAILLASSE, époux de Solange Camille Emma BARTHE, né à ALBI, rue
de la rivière, le 24 juillet 1898.
Fernand Maurice Paulin PAILLASSE, est le fils d'Elie Célestin PAILLASSE et de Louise ANDRIEU, dont l'acte de mariage, en date du 3 septembre 1891, est présenté ci-après :
Partie
supérieure de l' Acte de Mariage d'Elie-Célestin PAILLASSE
et de Louise ANDRIEU, Saint Lieux-Lafenasse
(Tarn).
Elie
Célestin PAILLASSE est né de père inconnu et porte le nom de sa mère Marie
Émilie PAILLASSE qui l'a reconnu le 13 août 1898.
Au
bas de l'acte de mariage, apparaît la signature PONS (entourée de rouge), le
même nom de famille que celui d'Hélène PONS, soeur d'Emma CAMARÈS figurant dans
le recensement de 1911.
L'ensemble
des antécédents de Solange BARTHE et Fernand PAILLASSE figure dans le synoptique
suivant
La
mère de Solange Camille Emma BARTHE, Noémie FILEGON, est décédée le 11 juillet
1913 à l'âge de 43 ans au Bon Sauveur à ALBI, une institution qui soignait les
malades mentaux. Son père, Maurice Paul
BARTHE s'est remarié le 22 décembre de la même année avec Jeanne BRIGNON, veuve
de Fernand Auguste PUECH.
Marie
BARTHE, mère de Maurice Paul BARTHE est décédée à Albi le 6 décembre 1905 et
son acte de décès présenté ci-après contient des informations intéressantes :
On
peut lire sur cet acte : "Ont
comparu les sieurs Léon BARY, négociant, âgé de cinquante-un ans et Camille
ARAGOU, chemisier, âgé de trente-cinq ans, domiciliés à Albi,voisins de la
défunte"
Camille
ARAGOU est le frère cadet de MARISSOU, et il est chemisier de profession comme
Maurice Paul BARTHE. Cela montre que la famille de MARISSOU et la famille
BARTHE se connaissaient. On peut aussi remarquer que dans les prénoms que
portait Solange Camille Emma BARTHE, on retrouve celui de Camille ARAGOU et
d'Emma CAMARÈS. Il peut s'agir d'une simple coïncidence, mais cela pourrait
bien être les prénoms du parrain et de la marraine de l'enfant.
Les
archives du clergé pourraient le confirmer, mais en général, elles ne sont pas
facilement consultables.
On
peut en déduire qu'à cause de la maladie mentale de sa mère, Solange BARTHE à
été élevée par la famille d'Emma CAMARÈS. Cela a eu lieu entre 1906 et 1911. En
effet, dans le recensement d'ALBI de 1906, Solange BARTHE n'est pas mentionnée
avec la famille d'Emma CAMARES.
Recensement
d'Albi 1906 - 15 rue du Pont Neuf
54 | CAMARÈS Veuve | Emma | 1863 | St Benoît | Chef |
55 | PONS | Helena | 1859 | Touyot | Soeur |
56 | Veuve PONS | Genny | 1833 | La Tremblade | mère |
NOTA : Dans les
recensements, Antoinette Eugénie PONS, Veuve CAMARÈS a
pour prénom Emma.
Sa signature au bas de son acte de mariage confirme qu 'il s'agit bien de son
prénom usuel.
2- LES FAMILLES PONS
et CAMARES
Le
recensement d'Albi de 1906 indique qu'
Emma CAMARÈS est veuve, et qu'elle réside rue du Pont Neuf à Albi avec sa soeur
et sa mère Genny CHARPENTIER. Son époux, Henri CAMARÈS est décédé en 1904. Le
synoptique suivant montre les parents des deux époux.
La FAMILLE PONS
Genny
CHARPENTIER, Veuve PONS
Marie Anne Jennie* CHARPENTIER, mère d'
Antoinette Eugénie PONS, est née à LA TREMBLADE, une ville est située au nord
de l'estuaire de la Gironde dans le département français des Charentes
Maritimes, le 14 juillet 1833.
Dans
sa ville natale, elle a épousé, le 10 février 1857, Antoine PONS, natif de St
BENOIT de CARMAUX, une commune proche d' ALBI. comme l'indique l'acte de
mariage présenté ci-après.
Acte de mariage d' Antoine PONS et Marie Anne
Jenny CHARPENTIER , la TREMBLADE le 10 février 1857.
|
* On constate deux orthographes différentes
sur son prénom : sur l'acte de naissance on lit Jennie et sur l' acte de
mariage Jenny
Antoine PONS meurt
le 15 juin 1868 à l'âge de 35 ans. Jenny CHARPENTIER se retrouve
veuve à 35 ans avec deux jeunes orphelines,
Hélène, née en 1859 à Royan (ou dans ses environs si l'on se base
sur le recensement d'Albi de 1911) et Antoinette Eugénie, (appelée
Emma) née le 11 août 1862 à St BENOÎT de CARMAUX (Tarn).
Antoinette Eugénie
(Emma) PONS et Henri CAMARÈS
Antoinette Eugénie (Emma) PONS épouse
Henri CAMARÈS le 23 décembre 1884 à ALBI.
Sur l'acte de Mariage, elle est âgée de 22 ans
et habite Albi, Boulevard Montebello.
Voici une vue du Boulevard Montebello en 1908
( source : La dépêche du midi) où habitait Jenny CHARPENTIER et ses deux filles.
Sur l'acte de mariage d'Antoinette Eugénie (Emma) PONS, Henri CAMARÈS
est tailleur de pierres, et il est domicilié rue du séminaire,(aujourd'hui rue de la République) à ALBI.
Extrait de l 'acte de Mariage Antoinette
Eugénie (Emma) PONS avec Henri CAMARÈS
Henri CAMARÈS décède
le 8 février 1904 à l'âge de 45 ans sans avoir eu de descendance. Ceci peut
être une des raisons pour lesquelles Emma PONS a élevé Solange BARTHE.
LIEN DE PARENTÉ ENTRE HENRI CAMARÈS ET MARISSOU
Ce synoptique développe l'ensemble de la
famille CAMARÈS issue de Mathieu CAMARÈS qui est le grand père commun de
MARISSOU et d'Henri CAMARÈS, l'époux d'Antoinette Eugénie PONS,
appelée Emma par sa famille.
MARISSOU est donc une cousine par alliance d' "Emma" PONS.
A présent que la relation entre la famille de
Maurice PAILLASSE et de son épouse Solange BARTHE avec MARISSOU a été établie,
il faut voir s'il y a une concordance entre les patronymes PAILLAS et PALLASSE.
PATRONYMES PAILLASSE ET PAILLAS
Les patronymes PAILLAS et PAILLASSE sont peu
répandus dans la région d' ALBI. Par exemple dans les registres matricules des
hommes appelés pour effectuer le service militaire pour la période 1867 à 1921
on trouve dans les localités proches d'Albi
une seule personne pour le patronyme PAILLASSE : Fernand Maurice Paulin
qui est cité dans cet article et deux hommes pour le patronyme PAILLAS et qui
ont pour prénoms Germain Pierre du village d' ARTHÈS et
Léopold originaire du village de CARLUS. On trouve davantage de patronymes
PAILHAS ou PAILHES dont l'orthographe est plus proche de l'occitan.
Dans le recensement d'Albi de 1931, nous
n'avons trouvé aucun patronyme PAILLAS dans la partie urbaine. Ceci est
confirmé par l'Annuaire du Tarn de 1929-1930 qui publie une liste des habitants
d'Albi.
On trouve PAILLAS Jules à JARLARD, PAILLASSE Elie, rue de la rivière et
PAILLASSE Fernand, rue du Pont Neuf.
Dans les années 1930, JARLARD était une zone
agricole, située à 3 kilomètres environ du centre ville. Aujourd'hui, de
petites entreprises y sont implantées. Pour cela, on peut considérer que Jules
PAILLAS était agriculteur car un commerçant aurait logiquement habité en ville.
Élie PAILLASSE est le père de Fernand PAILLASSE qui habite rue du Pont
Neuf, N°16 dans le recensement d'Albi de 1926 présenté au début de cet article.
Dans le recensement d'Albi de 1926, il habite
effectivement avec son épouse Louise ANDRIEU , rue de la rivière ,N°16 , mais
son nom de famille n'est pas tout à fait le même :
Recensement d'ALBI de 1931, rue de la rivière,
N°16
135 | PAILLAS | Élie | 1862 | Fréjerolles | Chef | S.P |
136 | ANDRIEU | Louise | 1865 | Lefennasse | épouse |
Les prénoms, le nom de l'épouse et l'adresse
de ce couple confirment qu'il s'agit bien des parents de Fernand PAILLASSE. La
photo étant un peu floue, nous présentons un gros plan des noms et lieux de
naissance dans l'image suivante .
On
constate que le nom de famille a été modifié et s'écrit PAILLAS, exactement comme celui du magasin de
parapluies situé 13 rue Mariès à ALBI
Pour expliquer les raisons de cette
modification, nous pouvons avancer l'hypothèse suivante :
En occitan le mot PAILLASSE devient
"PALHASSA " et désigne un clown ou un personnage burlesque. Élie
PAILLASSE est né de père inconnu et quand il était enfant il a peut être souffert
de moqueries de la part de ses camarades à propos de son nom de famille, et il
a voulu y mettre un terme en le modifiant. D'autre part donner le nom de PAILLASSE à un
magasin pourrait être interprété comme celui d'un commerce qui manque de
sérieux. Il est donc tout à fait possible qu'on ait choisi de modifier le
patronyme PAILLASSE pour ces différentes raisons.
Dans les années 1930, la population d'ALBI
était d'environ de 30 000 habitants et il y avait 3 magasins spécialisés dans
les parapluies et les ombrelles : MEYNIER, PAILLAS et "Au GASPILLAGE". Le premier étant
tenu par Mademoiselle MEYNIER, il ne restait plus que deux autres magasins. Le
choix de PAILLAS semble donc le plus logique.
Selon notre hypothèse, quand Carlos GARDEL
cite "la tante du magasin de parapluies, il ne s'adresse pas à Solange
BARTHE, l'épouse de Fernand PAILLASSE, qui est à cette époque une jeune femme
de 34 ans, mais plutôt à Emma CAMARÈS,
la "tante" d'adoption de Solange BARTHE, qui est âgée de 72 ans,
comme MARISSOU. Et lorsqu'il évoque son fils, il doit certainement penser à
Fernand PAILLASSE qui est alors âgé de 38 ans.
C'est selon nous, et sur la base des documents
d'archives consultés la réponse qui semble la plus probable à l'identification
de "la tía de la casa de paraguas" et de son fils, tels que les a
décrits Carlos GARDEL.
SITUATION DU MAGASIN DE PARAPLUIES PAILLAS
En 1931 son adresse était 13 rue Mariès, et il
était situé à environ 100 mètres du domicile de MARISSOU, ce qui rendait
possible une visite de Carlos GARDEL. Sur ce plan d'Albi de 1914 sont indiqués
l'emplacement du magasin de parapluies, les domiciles de MARISSOU et d'Emma
CAMARÈS ainsi que le Bon Sauveur, asile d'aliénés où Noémie FILEGON, épouse de Maurice BARTHE est
décédée.
Le N°13 de la rue Mariès aujourd'hui. Le magasin de parapluies PAILLAS devait se trouver à cet
emplacement.
Georges GALOPA - Ana TURÓN
ANDOLSHEIM (FRANCE) - AZUL (ARGENTINE)
Le 14 octobre 2017
Les auteurs remercient :
Madame GUIRAUD -CHAUMEUIL, Maire d'Albi.
Madame Michèle BARRAU-SARTRES, Conseillère municipale déléguée aux Archives d'Albi.
Monsieur Jean LE POTTIER directeur des Archives Départementales du Tarn.
Madame Catherine CABOT et Monsieur Angel SANZ des Archives Municipales d'Albi.
Monsieur Robert SANZ des Archives Départementales du Tarn.
Les services de l'État civil de la Mairie d'Albi.
Le journal "Le Tarn Libre" et plus particulièrement Monsieur François ASTORG, journaliste.